En septembre il y aura peut-être plus de monde. Evidemment cela change des quais franciliens ! Très agréablement. C’est curieux d’aller travailler tous les jours avec un train grande ligne, mais confortable.

Bon, le train n’arrive pas…
Pas grave, je ne suis pas à 5 mm, il fait beau, l’air est doux.

Tiens un retardataire. Lui doit être content que le train soit un peu en retard car le suivant est dans ½ heure. Et il ne sait pas se servir du composteur : serrez à gauche, serrez à gauche ! Ben voilà, il y est arrivé.

Qu’est ce que c’est que cet arbre ? On dirait des feuilles de figuier, mais ce n’est pas la région ! Et je n’ai jamais vu de figues en forme de bananes maigres.

Ah, le papy est déjà penché dans son jardin. Il a de beaux légumes : pas de mildiou cette année. En revanche son jardin est coincé entre la voie ferrée et une friche industrielle, il faut aimer ! Il n’a peut-être pas le choix, pauvre bonhomme. Enfin, une friche industrielle, plutôt une friche agro-industrielle : d’énormes silos tout de béton vêtus, de vastes hangars désaffectés et taggués, de gros tuyaux rouillés...

Ah, le voilà. En voiture…